vendredi 17 septembre 2010

Germes et attentes

Tandis qu'Antoine passait ces deux derniers jours le nez plongé dans son supra code, comme il vous le racontait très bien par ici, K et moi avons plutôt opté pour une autre activité tout aussi fun, l'attente.

Hier, nous nous sommes en effet rendus comme convenu à notre rendez-vous avec notre promoteur en vue de lui faire la petite présentation qu'il nous avait demandé de réaliser. Celui-ci n'ayant pas répondu aux 45 mails que nous lui avions envoyé pour définir l'heure de la rencontre, nous arrivons dans le très classieux immeuble de l'Université Concordia aux alentours de 12h. Trois heures plus tard, le constat est sans appel, nous avons fait le déplacement pour rien ! Même la gentille secrétaire Mireille a pris pitié de nous et nous a donné des documents à remplir afin d'obtenir nos cartes d'identification de l'université pour nous occuper utilement !

Vendredi n'aura malheureusement pas été une journée beaucoup plus concluante. Toujours sans nouvelle de notre promoteur, nous prenons tout de même à nouveau la direction de l'université, cette fois-ci afin d'y être pour 11h. Pas de bol, une fois de plus, il n'y a personne. Une autre secrétaire nous indique qu'elle l'a vu partir en "meeting" et nous conseille de revenir un peu plus tard. Nous patientons au Starbucks du coin en dégustant un bon chocolat chaud (enfin, hyper sucré mais super bon quand même).


Un mystérieux monsieur panda en profite d'ailleurs pour tester les fonctionnalités de l'espace du portable de K...


12h30, nous retournons à la Concordia et là, bonne nouvelle, la secrétaire s'excuse en nous expliquant qu'elle n'avait en fait pas vu notre promoteur mais qu'elle l'avait confondu avec quelqu'un d'autre. Supeeeeeeer ! La gentille Mireille décidera d'écrire elle-même un mail à notre promoteur pour lui dire que nous sommes passés et avons patienté pendant des plombes. Elle est cool Mireille. Mais bon, on commence quand même à croire que notre promoteur est mort...

La journée continue avec la visite de K chez le coiffeur. N'ayant pas pu obtenir un rendez-vous immédiatement, nous glandons une heure dans un parc à proximité peuplé de Roger. Un sympathique petit papy du coin nous indiquera plus tard que ceux-ci occupent ici la position des rats ou des pigeons chez nous. De vrais ordures ces Roger, donc. Mais bon, ils sont tellement plus marrants à regarder que des pauvres poulets gris !






Après trois heures de travail capillaire pour K, un vidage de batterie d'iPod Touch et de smartphone pour moi plus tard, nous ressortons finalement de chez le coiffeur et retournons finalement retrouver Antoine à l'appart. Trois heures ? Tant que ça ? Ahah, l'heure est venue d'introduire un nouveau suspense palpitant puisque vous ne verrez le fin mot de cette histoire que dans un futur post. Ouuuuuuuuuuuuh !

On remerciera également le fraîchement acheté et très bon Phoenix Wright : Ace Attorney sur nos iPod Touch de nous avoir accompagné ces deux derniers jours. Qu'est-ce qu'on ce serait fait chier sans lui !

Ah oui, dernière petite précision à propos du titre de ce post. J'ai chopé un léger rhume et je tousse gras. Bon appétit tout le monde :P

PS : De fait, le poulet annoncé par Antoine était très bon. Par contre, le gratin dauphinois était al dente. Putain de gratin dauphinois. (Une coïncidence ? Je ne crois pas non ! Gnihihihihihihi !)

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