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dimanche 5 décembre 2010

Grand nettoyage, expo zizi et steak mystérieux

Dans sa grande modestie, Christophe n'a pas signalé hier que quelque chose d'important c'était passé... Je me permet donc de revenir pour quelque lignes à hier pour vous signaler que Mr Christophe G. a mis la main à la pâte et a cuisiné le souper. En effet, las des quolibets de sa famille et de son ami l'étalon des plaine (entre autres) sur sa tendance "fils-à-maman-un-peu-trop-gâté", il a déclaré que désormais, la cuisine n'aurait plus aucun secret pour lui. Bon ok, pas à ce point, mais il se fait néanmoins qu'hier soir, nous avons  pu manger un délicieux poulet croquant à la sauce aigre-douce concocté en grande partie par le mohawk du groupe.

Il était très bon, ton poulet, Christophe.
Ce petit retour en arrière me permet d'enchaîner sur ce matin, où, ne voulant pas laisser pourrir le lait acheté la veille (pour faire le croquant du poulet, vous suivez ?), nous décidons de manger des crèpes au petit-déjeuner. Malheureusement pour lui, ce n'est pas le doux fumet de la crèpe qui a réveillé Antoine, mais bien le "tululudringdring" du téléphone fixe qui se trouve dans sa chambre. Non seulement personne n'appelle jamais sur le téléphone, mais en plus, jamais un dimanche à 10h30 du matin. Un peu de respect que diable !

Moumou sort de sa chambre pour nous prévenir que "Hé galère ! Le proprio va passer à 13h00 pour faire visiter l'appartement à un étudiant, donc il faut ranger pour que ce soit présentable." Jusque là, me direz-vous, il n'y a pas trop de problème. Hé bien SI ! Car nous avions prévu, voyez-vous, de passer notre matinée au musée des Sciences du vieux port, et pas à ranger des vieux papiers.
Si Antoine et moi nous accomodons assez vite de la nouvelle, le plan de la journée si bien échaffaudé dans la tête de Christophe est à présent totalement perturbé et son esprit s'échauffe. Après quelques minutes, il revient à la raison. C'était drôle.

Nous voilà donc partis pour des moments de PURE FOLIE entre le décollement des conneries des murs, le passage de l'aspirateur, la sortie des poubelles, la vaiselle, la cache de tout ce qu'on ne sait pas ranger dans des tiroirs et le camouflement du fauteuil pourri. A côté de ça, Walibi c'est rien du tout je vous dis.

Yééééééééééééééééééééééééééééééééééééé !

On a l'impression que quelqu'un est mort tellement c'est triste...
Vers 13h00, notre (ponctuel) propriétaire arrive accompagné d'un grand gars avec une grosse touffe. Il montre rapidement les différentes pièces avant de nous demander si notre séjour s'est bien passé, si on aime Montréal et blablabla. Au détour d'une phrase, nous laissons entendre que nous sommes Belges. Le grand touffu déclare que lui aussi est Belge et nous demande si nous sommes "De l'UCL ou de l'ULB ?". Puisqu'il n'y a que deux endroits où étudier en Belgique, nous lui répondons donc que nous venons de Namur.

Dès que nos invités passent la porte, nous enfilons rapidement une tartine et partons vers le métro direction le Champs de Mars (où nous retrouvons la team ukrainienne) et le centre des Sciences du Vieux Port. Sur notre chemin, on peut observer 12 flocons tomber. Une vraie tempête, c'est surréaliste !

Pour 12$, nous faisons l'acquisition d'un superber bracelet en papier qui nous sert d'entrée pour les différentes expo du centre des sciences. Nous commençons par celle sur le verre, puis celle sur la sexualité (les deux expo temporaires). Après ça, nous montons à l'étage pour découvrir le reste. Nous passerons au total quelques 2-3 bonnes heures rapidement écoulées au mileu de panneaux explicatifs, de vidéos et de systèmes interactifs. Antoine trouve que l'ensemble visait trop un public d'enfants. Moi je trouve que c'était juste vachement interactif et ludique. Mais bon, c'est vrai qu'ils n'entraient jamais dans les détails.

L'entrée....

"Hé K, regarge, c'est le miroir Maxime Cordy !"
Moi j'ai trouvé ça drôle :D


Allo Benoît, oui, rajoute un peu d'oxyde de plomb s'il-te-plaît !
Pouet.





 Là, tu choisis...


Nous nous faisons sortir des lieux à l'heure de fermeture sans avoir pu tout regarder/tester, et décidons d'aller boire un verre. Nous nous retrouvons aux 3 brasseurs, une enseigne déjà testée avec les parents de Christophe. Antoine se laisse tenter par une soupe à l'oignon alors que Ben a du mal à finir sa bière à la pêche qui, selon lui, "a un goût de moule".



Nous ressortons dans le froid pour aller jeter un oeil à la patinoire installée pour un temps dans le vieux port. C'est beau. Les prix le sont un peu moins : 6$ le billet, puis 8$ la location des patins, sans compter les 50$ de caution. Nous décidons donc d'aller patiner... un autre jour... peut-être... en plus on a froid... et faim.



Pour palier ces maux, l'idée de nous sustanter au Steak House (lui aussi déjà testé lors de la visite des parents de Chafouin) se répand rapidement dans le groupe. Il faut dire, la description donnée par Christophe fait envie. De fait, qui n'aurait pas l'eau à la bouche en entendant parler d'un "Steak vachement trop bon à 13$"... Malheureusement, nous déchantons en arrivant en face du menu qui nous promet, certes, un steak, mais pour 3 fois ce prix. Si Christophe avait été seul à tester l'établissement, on se serait probablement tous foutu de sa gueule pendant 2 semaines... Mais il se fait que ce jour là, j'étais gentillement invitée à manger également, et que j'ai été témoin de ces prix raisonnables. Le mystère reste donc entier !

39$ ou pas 39$, il faut quand même qu'on mange... La soupe à l'oignon de Moumou nous ayant semblée  "pas dégueulasse", comme il se plait à le dire, nous décidons de retourner aux 3 brasseurs sous les yeux un peu surpris du gentil serveur. Pour un prix plus que sympathique, nous mangeons là de la choucroute, un steak et des hamburgers. A vous de trouver qui a mangé quoi. C'est un jeu absolument stupide et inutile, mais si vous êtes entrain de lire cet article, c'est que vous n'avez probablement rien d'autre à faire de toutes façons.

Voilà... Nous sommes à présent rentrés bien au chaud dans notre appartement désormais triste à mourir. La nouvelle page de profil de Facebook est hideuse et les problèmes de cartes bancaires semblent s'étendre à l'Europe... Tout va bien.

lundi 29 novembre 2010

J'ai payé mon billet, c'est comme ça Monsieur.

Comme vous le saviez depuis un petit bout de temps, cher lecteur, j'ai passé le week-end dans la ville de Toronto, à plus de 500km de Montréal.

Pourquoi diantre ais-je été me perdre aussi loin ? Et bien, il se fait que j'ai de la famille dans ce coin-là, et que j'ai été leur rendre visite. À tous ceux qui se demandent comment diable j'ai de la famille là-bas, je propose un petit bout d'histoire rébarbatif :

Vois-tu, cher lecteur, les gens au milieu, ce sont mes arrière grands-parents. Et la marmaille autours, ce sont leurs enfants. Oui, 12, oui oui :] Si quelque uns de ces enfants sont restés en Italie, d'autres sont partis, dans les années je ne sais combien,  pour immigrer dans d'autres pays. La petite fille en blanc à la coupe de moine qui fait un sourire ridicule et qui a un renard mort sur les épaules, c'est donc ma Nonna, et alors qu'elle s'installe en Belgique quand ma maman est petite, son frère Danilo préfère le Canada. Ainsi donc, ma maman a fait des bébés Belges, et de leurs côtés, les enfants de Danilo ont fait des bébés Canadiens. C'est eux que j'ai été visiter, c'est aussi simple que ça.

Me voilà donc, vendredi 26, levée à 7h00 afin d'être sûre d'être à l'heure. Je quitte l'appartement à 8h et rejoins la gare centrale de Montréal 30 minutes plus tard. Je profite du fait d'être à l'avance pour découvrir les petits magasins et cafés des halles de la gare : elles sont vraiment super belles. On se serait cru dans un petit marché couvert. J'ai apprécié le spectacle et me suis offert un traité de philosophie afin de m'occuper durant le trajet. Le train est à 10h00, l'embarquement se fait une demi-heure plus tôt, et déjà à partir de 9h10, les gens commencent à faire la file devant l'entrée du quai. A 9h40, je me retrouve confortablement installée dans un siège du train. Le personnel, très gentil, est placé tout le long du chemin de l'entrée du quai à la porte du train afin de s'assurer que chaque personne est dans la bonne voiture. Une petite mamy très gentille vient s'asseoir à côté de moi. Juste devant, il y a un endroit réservé pour groupe de 4 personnes. Comme les gens qui avient réservé se sont installés ailleurs, une dame et son copain se sont assis là. Cette dame déclare alors au responsable du train qu'elle veut juste être avec son copain, et qu'elle ne veut pas, je cite, "être avec... des gens". Elle oblige donc le responsable à retourner le siège. Cette sympathique femme toujours, va reculer son siège au maximum (sur mon pc) et allonger ses pieds sur le siège devant. Je suis attristée de ne pas avoir fait la connaissance d'une telle personnalité plus tôt.

Le voyage se déroule agréablement. Les sièges sont confortables, les arrêts sont rapides, et, le top du top,  c'est de copier un pokémon avec Métamorph et un autre pokémon au centre de repro... ah non... Je disais donc, le top du top : il y a une connexion internet ! Je peux donc sans aucun problème travailler sur le mémoire, utiliser ma messagerie instantanée et découvrir les superbes photos du shooting. C'est sans conteste l'outil idéal pour faire passer le temps plus vite. Après un temps, je découvre également les joies de Dikkenek, et re-découvre encore un fois, celles de Memphis Belle.

Après 6h, j'arrive à l'Union Station de Toronto où m'attendent mes cousines Ivana (la fille de Danilo, si vous avez suivi) et sa fille Laila.

L'Union Station, avec la CN Tower derrière



Nous allons rechercher la voiture au parking avant d'aller déposer mes affaires dans la maison de Laila.
Peu de temps après, nous partons nous remplir le ventre dans un Mandarin : un restaurant asiatique où pour un peu plus de 20$, on peut manger à volonté. Il semblerait que c'est très connu en Ontario. J'aurais aimé qu'il y en ait à Montréal afin d'y emmener les garçons, mais ce n'est malheureusement pas le cas. Je profite du repas pour goûter, pour la première fois, à des sushis. Ont suivi la soupe, l'entrée, les plats chauds, la salade, le dessert... Que demande le peuple ?


La soirée se continue dans un bowling avec des amis de la famille où nous brillons par notre incapacité à lancer une seule boule correctement.
Lorsque nous rentrons, je vais vite me coucher dans la chambre délicieusement préparée spécialement pour moi. J'aurais bien dormi d'une seule traite si Odis le chat (un des trois de la maison) n'avait pas passé la nuit à marcher sur ma tête. Malgré ça, je passe une très bonne nuit et me réveille vers 9h30 au son du petit-déjeuner entrain d'être préparé.

Lorsque tout le monde est prêt, nous partons jusqu'au centre Rockland, un énoooooooorme mall, pour nous parquer facilement et prendre le métro de là jusqu'au centre de Toronto. Le réseau de métro de Toronto est encore plus simple que celui de Montréal:

Les métros en eux-mêmes sont plus longs et plus larges (m'a-t'il semblé) mais semblent plus vieux, ont une voix moins sympathique, et ont vraiment besoin d'huile !

Nous débarquons à l'a station Union, soit là où j'ai débarqué moins de de 24 plus tôt. Nous marchons 5 minutes afin de rejoindre la CN Tower, une tour de 553 mètres, à la base construite pour servir d'antenne multimédia, mais utilisée comme attraction touristique dès la fin des travaux, et de monter grâce à un ascenseur de José aurait détesté jusqu'au restaurant 360°, qui tourne sur lui même. Le restaurant a deux avantages : le premier est qu'on y mange très bien, le deuxième est que sur le temps du repas, on a le temps de voir tous les environs de Toronto. 
Avant de rentrer, on passe dans des portes de sécurité qui vous soufflent dessus. Casual.

La vue depuis le restaurant





Le dessert :]
Après le dîner, nous passons par un autre coin de la tour où le plancher est en verre, permettant de voir le sol bien loin au dessous de nous.

The José-Attraction
Pour terminer l'après-midi (car oui, entre la fin d'un repas à 15h, et le début de la nuit à 16h30, on peut dire que c'est la fin de l'après-midi), nous nous rendons à City Hall où le soir même, un concert est prévu pour l'allumage du sapin de Noël. Sur la place, une fontaine a été gelée pour la période des fêtes et de nombreuses personnes en profitent pour patîner. A côté de la scène pour le concert, nous entendons du bruit et assistons à la répétitions d'un groupe performance sur trampolinede gars qui répète une performance sur trampoline pour le soir-même.


Ivana et Laila 


A l'aise. Les doigts dans le nez.
Nous ne tardons pas à rentrer car des amis (les mêmes que la veille) viennent souper et il faut tout préparer. Nous nous arrêtons néanmoins quelques minutes au centre Rockland où j'achête une paire de trop-cool-de-la-mort-qui-tue boucles d'oreilles.

La soirée se passe très bien, avec la présence agréable de Luigi, le mari d'Ivana, qui avait dû travailler la journée et qui n'avait donc pas pu venir avant, et des invités. Au cours de la conversation, je découvre que les enfants dont s'occupe Laila  (qui est vice-principale dans une école), ont des vies à 1000 lieues de tout ce que j'ai vécu ou connu dans ma vie. Entre la drogue, les filles enceintes, les armes et les gangs... J'ai du mal à ne pas me croire dans un film... Le ton devient tout de même un peu plus drôle quand j'apprends que les collègues de Laila sont tous (ou presque) laids et/ou bête et/ou flippant ... Entre le mec au monosourcil qui pense que ça plait au fille et qui habite chez sa mère à 50 ans, et le sourd qui s'habille en Batman et qui fait du trafic de chat... j'ai un peu moins de mal à comprendre pourquoi certains élèves n'ont pas de respect pour leurs professeurs. 

Le lendemain, je me réveille sans avoir été écrasée par le chat. Fermer la porte était une réelle solution de génie. 

Après un copieux petit déjeuner, nous partons pour le ROM : Royal Ontario Museum. Un énorme musée vraiment superbe dans un magnifique batîment monstrueusement recouvert d'une espèce artisticomerde à l'entrée.

On est d'accord. C'est moche.
Dedans, nous découvrons de grandes salles remplies d'éléments d'histoire et de science. Nous parcourons l'Asie, l'Europe, le Canada, l'Egypte, l'époque des dinosaures... Mais il y a tout simplement trop de trucs et nous y restons bien 4 heures sans nous attarder.








A la sortie, nous mangeons un délicieux hot-dog avant de rentrer et de profiter d'un vrai souper. 

Gigi, Ivana, et Madame la vendeuse de hot-dogs.
Malheureusement il est déjà tard et Luigi doit s'en aller car il travaille le lendemain.  La fatigue aidant, nous ne tirons pas la soirée trop longtemps 

Le lendemain, c'est déjà le moment du départ, et Ivana, accompagnée d'Angela, me conduisent jusqu'au train. Un monsieur s'installe à côté de moi, il est grand et certes dodu. L'homme juste devant lui descend son siège à fond, et mon voisin lui indique gentillement que cela le dérange, et lui demande, toujours gentillement, s'il peut le relever légèrement. Le gentleman de devant lui répond "Ah mais c'est comme ça Monsieur, j'ai payé mon billet hein.". A l'aller et au retour, j'aurai donc rencontré des gens merveilles :]


En tous cas : c'était juste trop court, trop cool, trop bien, trop génial :] Merci à tous :] Maintenant, je m'en vais retrouver les pauvres petits caribous abandonnés ! 

Ah oui, et j'ai oublié de signaler, mais tout mon week-end s'est passé en anglais, ce qui m'a permis de bien pratiquer :]


jeudi 30 septembre 2010

Le bonheur.

Levés ce matin à une heure assez matinale, nous nous étonnons de voir la table du petit déjeuner vide. 
Voilà. 
Ca y était. 
Moumou avait réussi à nous supporter pendant près d'un mois, mais là, il n'en pouvait plus, il ne nous aimait plus, il ne voulait plus mettre la table pour nous.

Etonnés, nous passons néanmoins une matinée habituelle à travailler sur la théorie des jeux (à deux sur un seul livre, on peut le dire, c'est chiant) et à nous plaindre de la taille de LaTex sur Mac. Rien de bien passionnant donc : la moitié de notre journée ce résume en une phrase.

Vers 12h30, un bruit se fait entendre dans le couloir : c'est Moumou qui rentre ! Celui-ci n'avait pas eu le temps ce matin de se faire un petit panier repas, et pour cause : réveillé à 9h00, il s'est dépêché pour ne pas manquer une conférence à 9h30. Le bonheur donc : Moumou ne nous hait pas (encore), il n'a juste pas eu le temps de manger ce matin (le pauvre poupou !). 
Bien inspiré, il décide de ne pas attendre Lorent la taupe et Ben le maladroit pour manger. Nous nous délectons de délicieuses tartines en sa compagnie, tout en écoutant quelques génériques de dessins animés, hymnes de notre enfance (à Chafouin et moi en tout cas... Antoine ayant apparemment été mieux éduqué au grand air, plutôt que devant la télévision. Bravo Frédéric !)

Une heure plus tard, le couple le plus sexy de la planète arrive avec ses sandwichs de chez Subway. Lorent se cure les dents à pleine main. Normal.

Il nous laisse en prime un adorable petit tas de miettes.

Après une autre scéance de travail, nous nous décidons à aller faire les courses : le papier toilette se fait rare, et la boite à charcuterie se vide. En plus, il n'y a plus de sparadraps pour protéger mes petits petons.

Heureusement, nous trouvons des sparadraps Scooby-Doo. Je vais tout de suite mieux !
Depuis hier, de plus, Christophe s'étant métamorphosé en Mr Ronchonchon, nous décidons de nous rendre à Pèrpèt-les-Bains (comprenez Henri Bourassa) pour aller lui chercher ses baskets. Il en trouve. A sa taille. Nous sommes tous très contents.

Au retour, Moumou est là (dans son superbe tee-shirt Devoxx, soulignons-le), et nous commençons à nous préparer pour manger. Fishsticks, patates et tomates au menu. Trop bien. Je sais. Sur internet, José nous fait savoir que nous avons rendez-vous à 20h à Berri-UQAM. Sachant qu'il est déjà 19h20, que nous n'avons pas encore mangé, et qu'il faut minimum 30 minutes de métro, nous rigolons un petit peu.

Enfin bref, arrivés à Berri-UQAM à 20h30, nous retrouvons Ben, Kim, son ami, et José... ah ben tiens non, celui-ci à la flemme et ne veux pas bouger ses fesses. Peu importe, nous voilà repartis à une station de métro de là, à St-Laurent, d'où nous rejoignons la salle "Juste pour rire" où se tient l'exposition World Press Photo 10.



Au premier étage, nous découvrons les photos de différents évènements ayant marqué le quotidien de Montréal ces derniers temps. A l'étage suivant, la même chose mais pour les photos plus internationales. Certaines sont belles, certaines font peur, certaines choquent, certaines font sourire... 
Nous avons à peine le temps de passer chaque photo en revue qu'il est déjà 22h20 et qu'une charmante demoiselle nous signale que la salle va très bientôt fermer. Conclusion : 8$ relativement bien investis. 
Il n'y a pas beaucoup d'intérêt à décrire ce que nous avons vu plus en détail, les photos parlent beaucoup mieux d'elles-même.

Nous reprenons le métro, et nous voilà donc de retour à l'appartement. 

J'écoute le bruit du métro. Christophe pense que je dors.
Il y a encore pas mal de monde dans le métro à 22h30
Cet article pourrait s'arrêter ici si Florence Goffart n'était pas née. En effet, celle-ci ayant insisté pour avoir "des photos avec des têtes", nous avons fait, spécialement pour elle, un récit-photo de notre après-midi, que nous vous offrons à tous ci-dessous. Enjoy.

Christophe prend sa veste.
Christophe ferme la porte
Christophe devant la maison
Christophe devant la tour de l'université de Montréal 
Christophe attend le métro
Christophe à Jean Talon
Christophe dans le métro
Christophe est impatient d'arriver chez Tennis Zone
Christophe a trouvé des chaussures à sa taille.
Christophe est vachement content. Ses chaussures sont juste "Wow".
Christophe aime son pote Antoine.
A demain pour de nouvelles aventures !

PS : une ampoule vient de pêter et de tomber par terre. Le cul est toujours dans la lampe. Nous avons peur.