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mardi 21 décembre 2010

Presques partis...

Le réveil sonne. Coin coin.

C'est l'heure de se lever en ce lundi 20 décembre car nous avons encore quelques choses et bidules à régler avant notre départ. La journée ne s'annonce pas spécialement rude, mais on a des trucs à faire quoi...

La première étape de la journée pour Christophe et moi était de prendre le métro pour aller voir une dernière fois notre promoteur et passer faire quelques "courses". Ces courses finies, je retrouve l'ami Chafouin attablé au centre eaton devant notre Subway favori. Il semblerait que le rendez-vous avec le promoteur se soit passé comme prévu : c'est à dire que ce dernier n'avait pas lu le document qu'on lui a envoyé il y a plus d'un mois, et renvoyé quelques jours avant.

Mais qu'à cela ne tienne, nous avons d'autres chats à fouetter. Et le premier d'entre eux est l'agence de location auprès de qui nous souhaitons récupérer notre caution. Le problème est qu'ils n'ont pas la caution, et qu'ils ne sauront l'avoir que le lendemain. Raison : ils n'ont eu le message du propriétaire que ce matin. D'accord les gars, après tout, ça ne fait qu'un mois qu'on vous envoie des mails et qu'on vous téléphone pour vous dire qu'on aimerait passer récupérer nos sous aujourd'hui. Soit. Nous repartons bredouilles. Christophe encore plus.

Pourquoi donc, me direz-vous ? Et bien tout simplement car un peu plus tôt dans la journée, le malheur avait déjà croisé sa route. Un dindon-malheur plus exactement. Notre très chère Kim n'ayant pu venir se délecter de notre tajine dimanche, elle n'a, par la même occasion, pas pu couper les cheveux de ce cher Chafouin, qui commençait doucement à en avoir marre de sa mèche de 30kg sur la tête. La solution de secours a donc été de se rendre chez un coiffeur. Mauvaise idée (la mienne à la base, désolée). Résultat : 25$ pour une coupe trop courte réalisée par un dindon antipathique. C'est raté, par rapport au résultat attendu, mais c'est loin d'être laid, c'est déjà ça.

Revenons dans le métro, où nous étions restés, juste après avoir déchanté à l'agence de location. Nous sommes donc de retour à l'appart où nous avons dépassé la limite des '30h avant l'heure limite d'embarquement', ce qui veut dire que nous avons maintenant l'occasion d'imprimer nos cartes d'embarquement. Chose que nous faisons à l'aise, affalés sur le lit de Moumou. Ce dernier profite de ce moment pour passer la porte, il revient du Diro où il a fait ses adieux à ses collègues. La larme à l'oeil, il préfère s'isoler. Nous respectons son intimité et le laissons seul dans son lieu de prédilection pour ce genre de moment : les toilettes.

L'après-midi est palpitante : nous faisons des lessives et nous allons jusqu'à la station Rosemont pour remettre notre imprimante à Gwen. Nous en profitons pour l'inviter au souper de ce soir. Le VRAI dernier souper entre potes à Montréal (oui je sais, moi aussi j'ai l'impression qu'on a fait 10 derniers soupers mais bon).

On est tous d'accord : c'est un canard.
A la base, et sur les conseils d'un collègue d'Antoine, nous avions prévu d'aller goûter au smoked meat... Mais c'est fermé. Tant pis. Nous nous rabattons sur le Nickel's Grill, le restaurant de Céline Dion (hurayyyyy !). Nous retrouvons donc la team ukrainienne, Gwen et Anabelle à Jean Talon avant d'aller manger DE LA VIANDE (oui Chang). C'est très bon. On s'amuse bien, on mange bien, on renseigne des nouveaux arrivant sur les lieux intéressants de la ville, avant de nous en aller vers un bar que nous ne trouverons pas. Cela n'arrête pas José-le-fureteur-de-bar qui nous emmène sur Mont Royal, où on termine la soirée chez Baptiste.

Chez Baptiste, c'est cool, et ce qu'il y a de vraiment cool, c'est ça :
La Boris Cool, c'est la vie.

Ombeline et Raul nous rejoigne pour 20 minutes, un peu désorientés dirons-nous. On apprécie de les revoir une dernière fois vu que notre apéro-couscous du mercredi avait été avorté, pour cause de voyage à New-York.

Vers 23h50, métro oblige, nous remontons vers la station. 

// Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. Avis à la clientèle. La STM procède actuellement à des tests de communication. Nous vous remercions de votre compréhension. //

Arrivés à Jean-Talon, nous bougeons nos fesses pour attraper le dernier bleu. 
Les Espagnols ne l'ont pas fait.
Les Espagnols sont retournés en bus.

Ce matin, mardi 21, nous avons tout mis dans nos bagages, donné tout ce qui nous restait en bouffe aux voisins, laissé une boite de Noël pour les ukrainiens, acheté un pèse bagage qui ne marche pas pour remplacer le pèse bagage qui ne marche plus, fermé une dernière fois la porte, et abandonné pour de vrai ce qui a été notre nid douillet pour près de 4 mois. Ca fait quand même quelque chose. 

La tristesse fait vite place à la sueur quand nous tentons tous les moyens possibles pour déplacer 4 grosses valises (dont une toute pourrie et pas du tout rigide) à trois. Conclusion : c'est chiant et difficile. Heureusement, le chemin de notre maison au métro est le plus compliqué, après, il n'y a plus grand chose à faire jusqu'au bus 747 express vers l'aéroport. 

Et nous voilà, assis dans l'aéroport, à attendre notre avion qui partira avec 1h30 de retard. A très vite pour certains, à bientôt pour d'autres, à un jour, on espère, pour le reste !


dimanche 5 décembre 2010

Grand nettoyage, expo zizi et steak mystérieux

Dans sa grande modestie, Christophe n'a pas signalé hier que quelque chose d'important c'était passé... Je me permet donc de revenir pour quelque lignes à hier pour vous signaler que Mr Christophe G. a mis la main à la pâte et a cuisiné le souper. En effet, las des quolibets de sa famille et de son ami l'étalon des plaine (entre autres) sur sa tendance "fils-à-maman-un-peu-trop-gâté", il a déclaré que désormais, la cuisine n'aurait plus aucun secret pour lui. Bon ok, pas à ce point, mais il se fait néanmoins qu'hier soir, nous avons  pu manger un délicieux poulet croquant à la sauce aigre-douce concocté en grande partie par le mohawk du groupe.

Il était très bon, ton poulet, Christophe.
Ce petit retour en arrière me permet d'enchaîner sur ce matin, où, ne voulant pas laisser pourrir le lait acheté la veille (pour faire le croquant du poulet, vous suivez ?), nous décidons de manger des crèpes au petit-déjeuner. Malheureusement pour lui, ce n'est pas le doux fumet de la crèpe qui a réveillé Antoine, mais bien le "tululudringdring" du téléphone fixe qui se trouve dans sa chambre. Non seulement personne n'appelle jamais sur le téléphone, mais en plus, jamais un dimanche à 10h30 du matin. Un peu de respect que diable !

Moumou sort de sa chambre pour nous prévenir que "Hé galère ! Le proprio va passer à 13h00 pour faire visiter l'appartement à un étudiant, donc il faut ranger pour que ce soit présentable." Jusque là, me direz-vous, il n'y a pas trop de problème. Hé bien SI ! Car nous avions prévu, voyez-vous, de passer notre matinée au musée des Sciences du vieux port, et pas à ranger des vieux papiers.
Si Antoine et moi nous accomodons assez vite de la nouvelle, le plan de la journée si bien échaffaudé dans la tête de Christophe est à présent totalement perturbé et son esprit s'échauffe. Après quelques minutes, il revient à la raison. C'était drôle.

Nous voilà donc partis pour des moments de PURE FOLIE entre le décollement des conneries des murs, le passage de l'aspirateur, la sortie des poubelles, la vaiselle, la cache de tout ce qu'on ne sait pas ranger dans des tiroirs et le camouflement du fauteuil pourri. A côté de ça, Walibi c'est rien du tout je vous dis.

Yééééééééééééééééééééééééééééééééééééé !

On a l'impression que quelqu'un est mort tellement c'est triste...
Vers 13h00, notre (ponctuel) propriétaire arrive accompagné d'un grand gars avec une grosse touffe. Il montre rapidement les différentes pièces avant de nous demander si notre séjour s'est bien passé, si on aime Montréal et blablabla. Au détour d'une phrase, nous laissons entendre que nous sommes Belges. Le grand touffu déclare que lui aussi est Belge et nous demande si nous sommes "De l'UCL ou de l'ULB ?". Puisqu'il n'y a que deux endroits où étudier en Belgique, nous lui répondons donc que nous venons de Namur.

Dès que nos invités passent la porte, nous enfilons rapidement une tartine et partons vers le métro direction le Champs de Mars (où nous retrouvons la team ukrainienne) et le centre des Sciences du Vieux Port. Sur notre chemin, on peut observer 12 flocons tomber. Une vraie tempête, c'est surréaliste !

Pour 12$, nous faisons l'acquisition d'un superber bracelet en papier qui nous sert d'entrée pour les différentes expo du centre des sciences. Nous commençons par celle sur le verre, puis celle sur la sexualité (les deux expo temporaires). Après ça, nous montons à l'étage pour découvrir le reste. Nous passerons au total quelques 2-3 bonnes heures rapidement écoulées au mileu de panneaux explicatifs, de vidéos et de systèmes interactifs. Antoine trouve que l'ensemble visait trop un public d'enfants. Moi je trouve que c'était juste vachement interactif et ludique. Mais bon, c'est vrai qu'ils n'entraient jamais dans les détails.

L'entrée....

"Hé K, regarge, c'est le miroir Maxime Cordy !"
Moi j'ai trouvé ça drôle :D


Allo Benoît, oui, rajoute un peu d'oxyde de plomb s'il-te-plaît !
Pouet.





 Là, tu choisis...


Nous nous faisons sortir des lieux à l'heure de fermeture sans avoir pu tout regarder/tester, et décidons d'aller boire un verre. Nous nous retrouvons aux 3 brasseurs, une enseigne déjà testée avec les parents de Christophe. Antoine se laisse tenter par une soupe à l'oignon alors que Ben a du mal à finir sa bière à la pêche qui, selon lui, "a un goût de moule".



Nous ressortons dans le froid pour aller jeter un oeil à la patinoire installée pour un temps dans le vieux port. C'est beau. Les prix le sont un peu moins : 6$ le billet, puis 8$ la location des patins, sans compter les 50$ de caution. Nous décidons donc d'aller patiner... un autre jour... peut-être... en plus on a froid... et faim.



Pour palier ces maux, l'idée de nous sustanter au Steak House (lui aussi déjà testé lors de la visite des parents de Chafouin) se répand rapidement dans le groupe. Il faut dire, la description donnée par Christophe fait envie. De fait, qui n'aurait pas l'eau à la bouche en entendant parler d'un "Steak vachement trop bon à 13$"... Malheureusement, nous déchantons en arrivant en face du menu qui nous promet, certes, un steak, mais pour 3 fois ce prix. Si Christophe avait été seul à tester l'établissement, on se serait probablement tous foutu de sa gueule pendant 2 semaines... Mais il se fait que ce jour là, j'étais gentillement invitée à manger également, et que j'ai été témoin de ces prix raisonnables. Le mystère reste donc entier !

39$ ou pas 39$, il faut quand même qu'on mange... La soupe à l'oignon de Moumou nous ayant semblée  "pas dégueulasse", comme il se plait à le dire, nous décidons de retourner aux 3 brasseurs sous les yeux un peu surpris du gentil serveur. Pour un prix plus que sympathique, nous mangeons là de la choucroute, un steak et des hamburgers. A vous de trouver qui a mangé quoi. C'est un jeu absolument stupide et inutile, mais si vous êtes entrain de lire cet article, c'est que vous n'avez probablement rien d'autre à faire de toutes façons.

Voilà... Nous sommes à présent rentrés bien au chaud dans notre appartement désormais triste à mourir. La nouvelle page de profil de Facebook est hideuse et les problèmes de cartes bancaires semblent s'étendre à l'Europe... Tout va bien.

dimanche 28 novembre 2010

Sous la neige jusqu'au Belvédère

K partie pour toute la fin de semaine, je retrouve l'appartement vide en rentrant du DIRO ce vendredi. Ne pouvant pas supporté plus d'une matinée l'absence de la fée du logis, Chris est parti rendre une petite visite à Kim du côté de Laval ! Il reviendra dans la soirée, après avoir profité avec bonheur des horaires de bus aléatoires et d'un taxi privé salvateur, avec les photos du shooting (enfin! merci Kim!).
Entretemps, Ben et Lorent me rejoignent après une longue journée dans leur cabinet dentaire et nous en profitons pour aller magasiner jusqu'au Metro. Le retour de Chafouin marque le début du repas, géré assez honorablement malgré une absence passée K-siment inaperçue: petits toasts-pizzas en entrée, salade de tomates, fishsticks filets de poisson pané, frites et binouze à volonté.

Il fait tout blanc à notre réveil ce samedi. La neige attendue depuis un petit temps est enfin au rendez-vous et 5 à 10 cm de belle poudreuse tapissent le jardin. Nous mettons une première fois le nez dehors pour aller faire quelques courses en fin de matinée. Le soleil et la neige embellissent le petit trajet habituel et nous incitent à prendre quelques clichés de toute beauté.

  

Le temps que Christophe me fasse une mini-introduction à LaTeX en vue de rédiger le mémoire, notre fenêtre du séjour est la cible de boules de neige puissantes et précises. L'avant garde de l'infanterie hispano-bourguignonne nous canarde à boulets blancs. Ouvrir la porte-fenêtre à Ombeline et Raul n'était pas la meilleure idée de l'après-midi... nous rendons les armes.




Nous partons donc pour une longue et belle balade enneigée avec nos voisins ennemis préférés, à l'assaut du Mont-Royal. Nous traversons le cimetière Notre-Dame des Neiges pour retrouver le Lac aux Castors et son domaine skiable: les pistes de luges sont installées mais le remonte-pente pas encore. Raul nous emmène ensuite jusqu'au Belvédère du Mont-Royal.
La promenade est longue, froide mais bien agréable et le point de vue sur Montréal enneigé valait le déplacement!

Le retour est un peu plus pénible car la nuit est déjà tombée (16h30) et nos pieds commencent à geler. Nous rentrons enfin nous réchauffer après trois bonnes heures à la montagne.


 
                                       

Lorent, Ben & Annabelle nous retrouvent après leurs achats de l'après-midi. Équipés comme de vrais trappeurs canadiens, ils sont maintenant parés pour affronter les frimas locaux jusqu'à fin décembre. Nous aurions bien aimé pouvoir en dire autant avant notre sortie au grand air de l'après-midi mais tant pis.

Soirée au centre-ville, un MacDo rempli de barlos pour le souper et le deuxième étage des Foufs pour la majeure partie de la nuit... Par conséquent, notre dimanche fut naturellement très chargé, il me serait d'ailleurs impossible de vous le détailler entièrement ici. Donc finissons-en là pour aujourd'hui.

dimanche 21 novembre 2010

Samedi festif, dimanche larvaire

C'est à 7h30 que sonne le réveil ce samedi. Un peu tôt me direz-vous. Et bien vous avez raison. Surtout lorsqu'on pense que vendredi soir, après avoir quitté Poudlard, la soirée s'est continuée avec tous les  magnifiques spécimens de "Qui veut épouser mon fils" jusqu'à près de 2h30 du matin. Mais peu importe, un rendez-vous skype m'attend et j'émerge pour pousser sur le petit bouton power de la kSexMachine... pour rien d'ailleurs, vu que M. Clacens préfère parler aux docteurs qu'à sa fille :].

Ce réveil dès potron-minet n'est néanmoins pas une mauvaise chose étant donné que nous prévoyons d'aller bouger nos fesses jusqu'au salon du livre de Montréal. Un petit-déjeuner, quelques douches, et un appel skype démontrant une nouvelle fois que Antoine est un loup garou plus tard, nous voilà partis.

Nous débarquons donc à la station Bonaventure vers 11h00 d'où nous accédons directement au hall d'exposition nommé "Place Bonaventure", sans passer par le froid de l'extérieur. Oui, le Montréal souterrain, ça a du bon. L'entrée nous coûte 6$ (plutôt que 8$, car nous sommes de pauvres petits étudiants). Le premier étage était entièrement rempli de stands jeunesse, tandis que le deuxième, beaucoup plus grand, accueillait tous les types de lectures.




Nous vagabondons entre les allées et nous arrêtons de ci de là pour lire une BD, nous étonner de la bêtise humaine, nous poser des questions sur le bien fondé de certains livres (ou de leur titre en tous cas), nous faire rentrer dedans par des poussettes ou encore avoir une petite pensée pour notre ami Ben.


À un moment, nous tombons sur un stand "Wallonie-Belgique". Nous avons le plaisir (haha) de constater qu'on y trouve des ouvrages sur diverses spécialités de notre beau pays. Chocolat, bière, mais aussi ça.

Après avoir marché dans ce dédale pendant près de 2h, nos estomacs (enfin surtout le mien) nous font savoir qu'il est l'heure de rentrer à la maison pour manger une bonne tartine. Nous apprendrons en lisant le magazine du salon pour passer le temps dans le métro, que nous aurions pu voir Zep, l'auteur de Titeuf, si nous avions fait attention. Notre réaction est démesurée: "Oh."

Nous ne faisons pas grand chose de notre fin d'après-midi à part ranger et décorer la pièce pour la soirée qui s'annonce. En effet, nous fêtons ce soir l'anniversaire de José le bourru.  Comme pour l'anniversaire de Chafouin, on ne va pas vous ennuyer à vous raconter ce qui s'est passé, et on va laisser faire le pouvoir visuel. Tout ce que nous dirons c'est que :

Raul.  J'ai pas envie de déplacer la photo.

  • On est des vrais pros de la déco
  • La verge est une unité de mesure
  • Une fête, c'est beaucoup mieux avec de la musique, merci aux baffles de la polytech
  • Jérôme n'est PAS Belge
  • Ombeline est une demoiselle délicate
  • La loi de Murphy s'applique à Patrick Sébastien
  • La maman d'Antoine et moi n'avons pas la même recette de gâteau aux petits beurres
  • Les gens devraient apprendre qu'il vaut TOUJOURS mieux rester avec nous plutôt que d'aller dans d'autres soirées. Kim et Fleur s'en souviendront.
  • C'était cool
Casual hein...




José, trop content de sa couronne.

Kiiiiiiiiimeeeeeeee, revieeeeeeeeeeeens !


I know EXACTLY what happenned...



Donc, Fleur, tu connais UML ?

Bon, on était sensé faire une photo genre "Waaaw, José, bon anniversaire, machin" Mais Antoine n'a pas compris.





Et après cela, nous passons aujourd'hui, comme vous vous l'imaginez, un dimanche palpitant entre le lit et le divan. Moumou a quand même trouvé le courage d'aller courir dans le froid pour pouvoir ensuite tester la baignoire. C'est tout. J'ai quand même appris que mon frère allait aller chez le coiffeur, et ça, ça c'est bien, parce que quand même, il était temps.

PS : si vous n'avez pas compris l'histoire d'Antoine et du loup-garou, vous pouvez remplacer le loup par "chicho footballeur vulgaire et misogyne" et la pleine lune par Maxime.

dimanche 14 novembre 2010

Foot, shooting photos, binouze: le compte est bon

Vous savez déjà grâce au dernier article de K que notre fin de semaine a débuté dans le chlore ce vendredi. Grasse matinée ce samedi, après avoir loupé celle du 11 novembre... afin de récupérer de la petite nuit xmlienne finalement non rentabilisée. Et galère!

Entre un énième match acharné sur PES et une petite immense vaisselle, Walid vient nous saluer et surtout me prévenir qu'un petit foot est prévu dès la fin du match de l'OM que nos voisins se doivent de suivre jusqu'à son terme. Une petite heure plus tard, je me retrouve sur un bon terrain synthétique situé non loin de chez nous avec mes voisins. La pelouse est déjà bien occupée, difficile de s'imposer à 5 dans une équipe pour prendre part à un match dont le niveau laisse sensiblement à désirer à première vue. Bref, nous nous contenterons de toucher un peu le ballon mais ces quelques simples passes font quelque chose quand même! "Je n'ai pas perdu tout mon foot" aurait dit le Kev, "quoique" pense-je... Mais il est déjà l'heure de partir pour Laval en cette fin d'aprem.

Notre chère Kim ayant invité les meilleurs Belges du Québec à un shooting photos gratis, nous avions accepté avec joie cette gentille sollicitation. Le studio CheeZZ!! photo n'a peut-être jamais reçu des personnalités aussi célèbres que Ronaldo Jo, mais pour nous, c'est l'occasion de poser sous toutes les coutures et tous les angles, guidés par l'avis avisé et très professionnel de Kim. Première expérience en studio photo très agréable donc, merci Kim! Ne bouge pas, je vais chercher le poney...



Un Burger King plus tard, nous reprenons le métro (Laval ayant son propre réseau de transport, nous sommes d'ailleurs arnaqués 3 fois car notre carte Opus ne fonctionne pas ici pour le bus et la rentrée dans le métro à Montmorency...) vers Sauvé. 



Vers 21h, débute donc une bonne soirée chez Jérôme pour pendre sa crémaillère en compagnie d'une bonne partie de nos nouveaux potes de l'Hexagone. L'anniversaire de Lorent sera lui célébré la semaine prochaine, au Caribou Fanfaron Palace. L'ambiance est au rendez-vous, la binouze aussi et le marché noir de la chaussure reprend vigueur sur Montréal.


Nous rentrons aux petites heures, aiguillés par Ombeline (sobre et délicate comme à l'accoutumée) et le GPS de Ben. Les bus sont à l'heure et nous avons la chance d'être chaque fois en just in time.

De retour chez nous vers 4h30 du matin, notre dimanche à la con se résume à quelques savoureux faits saillants. Matinée dans les plumes et récupération entre vrais fades, conversation skype avec notre Luxembourgeois préféré, victoire mauve,  et enfin quelques courses pour remplir un frigo dont l'état actuel est un peu old-léger.