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jeudi 18 novembre 2010

100 ième message : désolée, c'est pas über festif (mais un peu quand même)

On a fait des trucs entre le dernier post et aujourd'hui, mais on ne peut pas en parler, c'est secret défense.
Pour toute réclamation, s'adresser à messieurs L.Etalon et B.Carolo.

En ce jour pluvieux (en Belgique il fait sec une fois toutes les deux semaines, ici c'est l'inverse. On s'en accommode pas trop mal), la soirée s'avère plus amusante que la journée.

En effet, la tranche 8h-19h30 peut se résumer en "rendez-vous/subway/travail" pour nous, et en "travail/merde mes résultats sont pourris" pour Moumou. Oui, vous nous enviez tous, on sait.

Peu importe car le programme du soir est : apéro/manger avec nos adorables voisins Ombeline et Raul. Lorent, laissé seul pour la soirée pour une raison inconnue (Ben s'entraîne au patinage artistique, Ben travaille toute la nuit à la fac alors que Lorent glande, Ben est occupé ailleurs, Ben se saoûle seul dans un bar, Ben est mort... choisissez l'option que vous préférez, nous on en a AUCUNE idée), se voit gentillement invité par les merveilleux caribous que nous sommes à se joindre à la partie.

Vers 19h30 donc, José, revenant de la polytech, toque à l'arrière fenêtre de notre appartement (on lui a toujours dit de rentrer par l'avant, mais vous savez ce que c'est, c'est dur de dresser un mulet...) pour quémander l'asile. Le paquet de chips sorti deux minutes plus tard ne fera pas long feu. Merci Flanders. Installés autours de la table basse du salon, nous attendons les Espagnols, qui, comme de bons Espagnols, pointent leurs fesses à 20h30 plutôt qu'à 20h.

Deux nouveaux paquets de chips perdent la vie dans la bataille, ainsi que plusieurs bouteilles de bière datant pour beaucoup d'Halloween, et goûtant, pour certaines, "la pisse", d'après Ombeline. Oui, vous enviez tous nos invités d'avoir été si bien accueillis par leurs hôtes, on sait.

La soirée continue dans la cuisine où on mange du chili, moins épicé cette fois ci, afin d'épargner l'organisme de notre charmant Moumou. Ombeline et Raul, eux, n'ont peur de rien, et versent la moitié du pot de sauce piquante dessus. Je les soupçonne d'ailleurs de vouloir noyer le goût...
Après 2 ou 3 heures (le temps que Christophe finisse son assiette), nous prenons le dessert et évacuons la table pour une partie de Time's Up.

L'équipe Christophe-Ombeline-Lorent (COL) affronte donc dans une lutte sans merci les mercenaires de l'équipe Raul-Antoine-K (RAK)... et les écrase méchamment... Oui... nous sommes dépités... Mais nous aurons tout de même appris que

  • un président, quel qu'il soit, se représente avec un salut de la main
  • que Michel Sardou, ça ressemble à Michel Sardine
  • que Che Guevara, Nicolas Sarkozy, Batman et Georges W Bush sont des personnages vachement célèbres et arrivent plusieurs fois dans le jeu
  • que Jérôme n'est à présent plus connu que comme "le dealeur de pompes"
  • qu'Antoine a une ENORME bouche. Ca fait peur.
Les points, la honte, et une contribution de M. Moumou.

S'en suit un trafic de films entre Moumou (qui n'a aucun goût et qui jette "Le Parfum") et les Espagnols (qui vont se taper Nemo en anglais pour apprendre), et un échange de photos dignes des plus grands maîtres. Ceci fini, il est déjà tard, et nos voisins fatigués décident de s'en aller car la route est longue. Ils nous laissent sur une maison parfaitement rangée.
Moi je m'en fous, je fais pas la vaisselle.
Voilà, comme tout est propre et en ordre, on peut aller dormir.

On vous aime tous, mais comme vous ne commentez rien du tout, personne n'aura de goodies du Gamebuzz (à part peut-être Tux). Ca vous fera les pieds.

mercredi 3 novembre 2010

Swing la bacaisse dans la quoi ?

Et non, toujours pas de compte-rendu du dernier jour de notre trip au Québec. Certaines personnes sont toujours en train de fignoler leur petit paragraphe. Mais je ne les balancerai pas, ce n'est pas mon style (c'est K, Ben et Lorent !). C'est promis, ça arrive !

Trèves de bavardages, la journée d'hier était une fois de plus consacrée au dur labeur. Levés tous les trois aux aurores, vers 8h30, nous déjeunons ensemble avant que K et moi n'allions nous planquer devant Skype avant d'entreprendre une conversation avec notre promoteur. Afin de pouvoir partir à une heure décente à la fac, nous lui avions demandé la veille s'il lui était possible d'avancer notre rendez-vous d'une heure. Manque de bol, cela lui était impossible. Nous ne l'avons cependant remarqué qu'après avoir zoné pendant 15 minutes devant une liste de contacts vide et qu'un de nous deux ait l'idée géniale d'aller relever sa boîte mail. La journée commençait bien !

Nous quittons ensuite l'appartement pour nous rendre à Concordia. N'ayant toujours pas de cartes d'accès au labo fonctionnelles, nous sommes une nouvelle fois contraints de toquer à la porte pour que l'on nous ouvre, tels deux pauvres clodos. Nous passerons ensuite la prochaine demi-heure à tenter de connecter nos portables au réseau Wi-fi de l'université. Il y a tellement d'étapes à franchir que les douze travaux d'Hercule  s'apparentent à une visite chez les Bisounours en comparaison. Au final, cela a foiré, nous repartons brocouille. Nous supputons que les génies du service informatique ne nous ont pas filé les identifiants et mots de passe nécessaires. Ceux dont nous disposons servent uniquement à accéder à nos boîtes mail. Supeeeeeeer !

Enfin soit, nous nous mettons au travail. Il n'est pas facile de se concentrer, le bureau étant à nouveau bondé. Nous comprenons pourquoi il n'était pas possible de nous filer de la place tellement il y a du monde (ironie inside).

On se marche littéralement dessus !

K est repoussée à l'extrémité de la table !

Le midi, nous décidons d'aller manger les délicieuses tartines préparées le matin même. Le bâtiment de l'université de Concordia abritant apparemment à la fois des étudiants en informatique et en art (ou un truc du genre, on n'a toujours pas trop bien compris exactement), nous tentons une percée dans le chic septième étage où zonent dans des salles assez classes des étudiants en art. Le plan s'avère néanmoins un cuisant échec : d'autres personnes ayant étrangement eu l'idée de manger à la même heure que nous, il n'y a plus de place libre. Nous voilà donc obligés de descendre comme deux paumés au rez-de-chaussée où nous assisterons, un peu dégoûtés, au ballet incessant de connards ramenant des paquets de bouffe du McDo.

En partant, avant de rejoindre le métro, nous décidons de faire un petit crochet vers le magasin à souvenirs de l'université où l'on trouve des tshirts, des polos, des stylos et autres goodies arborant le logo de Concordia. C'est demain la veille qu'on verra la même chose aux FUNDP... Nous faisons également la découverte de papier à partir de... erhmm... je vous laisse le découvrir par vous-même. Bon appétit si vous passez à table.




Le soir, nous sommes conviés par Kim de la muerte à assister à un concert que donne son papa et une partie de son groupe dans un bar près de Saint-Denis. Nous rejoignons Ben à la station Mont-Royal vers 20h30, bien contents de quittés l'appartement où nous assistions à la belle branlée que les Canadiens étaient en train de se prendre. Un peu pas bien, Lorent a choisi de ne pas venir. On vous assure, ce n'était pas bien grave, il est déjà de nouveau en pleine forme. Bien aidés par la fée GPS du smartphone de Ben, nous parvenons à l'Inspecteur Epingle où a lieu l'événement et y retrouvons Kim, son pote Patrick et le père de Kim, qui mesure à peu près deux mètres de haut. Bonjour monsieur. Ben et Lorent ne nous avait pas menti à propos de sa carrure. Nous sommes ensuite rapidement rejoints par Gaël et Anabelle. En attendant que le spectacle commencent, Kim et Anabelle nous apprennent quelques expressions locales amusantes et tentent une nouvelle fois de nous faire prononcer avec le bon accent des jurons d'ici. C'est pas gagné mais ça vient ! Après une première partie assurée par un type tout seul un peu pas top, c'est au tour du père de Kim d'entamer sa prestation. Pour la faire courte, c'était très sympa. On a même eu droit à une petite dédicace entre deux chansons !



Le temps passe vite et il est déjà l'heure de reprendre le métro. Sur le chemin vers la station, un chat vient vers nous. Nous en profitons pour lui faire des gouzi-gouzis et le prendre en photo. José, l'ami des animaux, aurait sans doute apprécié ce moment.



samedi 16 octobre 2010

Lait pourri, temps pourri, site pourri, textes pourri, et soirée sympa

Le matin d'hier ne fut pas des plus agréables. Levés aux aurores pour assister à la relance sur internet des derniers billets du mois de novembre des Canadiens, nous nous rendons compte, avec misère, qu'il est impossible de nous rendre à un seul des matchs à 3, à moins de payer plus de 150$ chacun. Nous quittons donc la salle d'achat virtuelle avec cette super nouvelle pour commencer la journée.

Site pourri : check !

A travers les fenêtres, nous avons l'impression que le déluge va noyer Montréal tant l'eau semble tomber, et c'est sans compter le vent qui fait dangereusement vaciller les arbres. Pour une fois, on ne se plaint pas trop de ne pas avoir à sortir.

Temps pourri : check !

Nous comptons sur un bon petit déjeuner pour nous remettre d'aplomb pour attaquer la journée, mais tout ce qu'on nous offre, c'est une vieille pâte de lait caillé qui tombe sur les Kellog's comme ça : "Plof."

Lait pourri : check !

Qu'à cela ne tienne, nous prenons le taureau par les cornes et attaquons notre travail : Christophe essaye sans succès de comprendre un texte obscurement trouvé dans les méandres de la toile sur un sujet, qui, de loin, pourrait être légèrement apparenté à ce que nous étudions. Il abandonne bien vite l'idée de perdre son temps sur le texte pourri (check !), et s'attaque à la rédaction d'un début de texte latex/état de l'art sur les web services tandis que je fais de même à propos de la théorie des jeux. Tout cela jusqu'à l'arrivée de Moumou, notre sauveur, complêtement mouillé par la tempête !

Pour la soirée, nous avions, à la base, comme plan d'aller tester la poutine à "La Banquise", mais, d'après José le Bourru, vu la réputation de l'endroit, il vaut mieux y aller en semaine.
Soit, nous mangeons de simples pâtes tranquillement chez nous après un petit peu d'exercice, et nous mettons en route vers le St-Elizabeth (dont on vous a déjà parlé plusieurs fois). Juste avant de partir, petite vérification de la boîte aux lettres : c'est la fête ! 3 lettres ! Et pas une seule pub ! Par contre tout est pour Christophe, Antoine et moi sommes très tristes.

Nous serions arrivés au bar saints et saufs si Chafouin n'avait pas lourdement fait tomber son pied dans une énorme flaque, noyant sa chaussure, et éclaboussant Moumou par la même occasion. Je rigole beaucoup.

Nous finissons notre journée dans le bar où nous parlons de sujets et d'autres, bientôt rejoints par Ben, et un peu plus tard par Gwen et son amoureux Ange. Nous leur faisons un peu peur avec notre description du bunker, après leur avoir fait peur en les invitant dans un café de violeurs, mais à part ça, tout se passe bien.



Nous envoyons valser le métro et ses restrictions horaires de la ligne bleue pour profiter un peu plus de nos nouvelles connaissances. Nous reprenons donc le dernier métro orange vers 1h00 et nous arrêtons à Snodown, d'où nous marchons jusqu'à la maison. Sur le chemin, Moumou s'arrête 10 minutes pour soulager un besoin pressant, nous croisons l'hôpital général juif, ainsi que la station côte ste catherine, qui nous aurait éviter de marcher 20 minutes si on avait écouté les conseils d'Antoine. + 10 points d'orientation Flanders.

C'est ainsi que se termine notre journée, en partie bien pourrie, mais au final intéressante.

jeudi 14 octobre 2010

Dans la foulée de l'Action de Grâces

Après avoir brillamment remporté la palme pour la photo de la semaine, votre dévoué scribe est de retour. Plus en forme que jamais, ou pas.

Le début de semaine a été un brin coolos suite au lundi férié à l'occasion de l'Action de Grâces (comprenez Thanksgiving ; en québécois dans le texte) et surtout après cette bonne soirée d'anniversaire sur laquelle tout a été dit. Depuis mercredi donc, je remarche droit en direction du DIRO afin de poursuivre vaillamment mes bidouilles dans le fameux code attaqué depuis quelques jours.

Aujourd'hui fut donc une journée de travail habituelle, je démarre à 9h pour aller bosser au labo, K&C restent quant à eux à l'appart et ont apparemment bu du petit lait à la lecture d'articles scientifiques plus faciles et passionnants les uns que les autres.

A mon retour, notre charmante tête blonde n'est pas là. Et pour cause puisqu'une troisième prof différente (moins minouche d'après mes sources) faisait danser K à la brésilienne. Chris et moi allons faire quelques achats de première nécessité (chips et chips en promo) au Métro.
Peu après, notre fée du logis (en fais-je de trop? même pas ;) revenait un peu émoussée, mais en forme physique impressionnante, de son intensive séance de sport.

Photos sensationnelles, à l'image de la journée : K insiste pour que Christophe mange 
des légumes, K achète du miel degue et c'est encore K l'adepte des revues scientifiques.

Bien repus, les activités de la vêprée ont un petit goût de déjà vu: glande devant le PC (ou le Mac) pour les fades et rédaction de cartes postales pour la plus motivée (voire nostalgique ou attentive et polie, c'est selon).

Quoi qu'il en soit, je m'arrête ici pour aujourd'hui, il me semble avoir assez digressé comme ça. Je vous laisse juste deviner le nom d'une fine plume, s'exprimant ci-dessous (indice, elle ne nous manque pas beaucoup ici-bas).

"(...) - la moyenne est de 2,4/10 - 3 étudiants (15%) ont obtenu 5/10 ou plus - 7 étudiants (35%) n'ont pas obtenu plus de 1/10 (...) La plupart des réponses sont soit vides soit complètement fausses. Ceci témoigne sans ambiguïté d'un travail personnel nettement insuffisant (je m'exprime avec nuance) et un taux de rétention des connaissances (antérieures au cours et pendant le cours) proche de zéro. (...) ce qui donne : absence ou passivité au cours, pas de travail personnel, pas d'exercices, aucune curiosité, pas de proactivité, pas inscrits à Webcampus, aucun contact avec les enseignants, jamais de questions au début du cours et bien entendu silence gêné quand l'enseignant pose une question au cours ! (...) j'attends des étudiants qu'ils consacrent en moyenne 2 h de travail personnel par semaine au cours (...)"


PS : dédicace spéciale à Charlotte qui attend impatiemment mon nouvel article, merci !
Bedankt ook aan tous mes fans anonymes dont vous faites peut-être partie.
See you soon.

Indiana Jones et les aventuriers des massages suédois en apéro

Fichtre ! Point d'article depuis mardi, on se croirait presque sur le blog de Ben et Lorent ! Enfin bon, hier, on avait une excuse puisqu'on n'a, à peu de choses près, rien foutu ! La matinée a en effet été consacrée en grande partie à la récupération et au rangement de la soirée de la veille.

En début de soirée, Antoine et moi nous sommes bougés jusqu'à Berri-UQAM afin d'y retrouver Ben, Lorent, Kim et Anabelle en vue de tester pour la première fois pour la majeure partie du groupe le restaurant Frites Alors !. Les plus fidèles lecteurs se souviendront que Moumou y avait déjà fait un tour précédemment... L'histoire retiendra que les frites n'étaient pas dégueu, que Kim a eu l'impression qu'on lui avait étalé du gras sur le visage et que la serveuse n'était pas sympa et ne méritait donc pas les pourboires qu'on lui a poliment refilés.



Nous nous sommes ensuite rendus à la Distillerie, un bar à cocktails sur Saint-Denis. L'histoire retiendra que les boissons n'étaient pas dégueu mais un peu chères bien que ça ne m'ait pas trop dérangé vu que je n'ai pas eu à payer la mienne - merci à Anabelle dans les faits et à un peu à Antoine dans l'intention. Et oui, ça a du bon d'être fêté !

Ce mercredi, nous avons retrouvé un rythme plus studieux. Antoine s'en va travailler à la fac tandis que nous tenons une conversation Skype avec notre promoteur en Belgique. Nous décidons ensuite d'imprimer quelques documents en vue de les lire lorsque soudain, c'est la caca, c'est la cata, c'est la catastrophe ! Notre imprimante tombe en effet en rade d'encre noire. Nous voilà ainsi bien obligés de trouver un magasin de fournitures informatiques à proximité. Fort heureusement, notre pote Google Maps nous renseigne une échoppe chemin de la Côte-des-Neiges, à quelques minutes de chez nous. Nous notons l'adresse et décidons de nous y rendre à pied vu qu'il fait plutôt beau.

Bien nous en a pris ! Nous avons ainsi fait la découverte d'un hôpital situé à cinq minutes de chez nous - en réalité Antoine nous l'avait déjà dit mais on avait oublié -, d'un gros bâtiment pas très beau, d'un collège et d'un manoir Ronald McDonald. La classe !

De très jolis trucs cylindrés sur la droite de l'image.

Si quelqu'un chope la rage, nous savons où aller...





Bon, en revanche, pour ce qui est du magasin de fournitures, on n'est pas tombé dessus directement. Et pour cause, celui-ci n'existait plus ! A la place, on trouve désormais un centre de massage suédois assez tentant mais qui ne nous aiderait pas à imprimer nos brols. Nous voilà donc bien obligés de nous rendre dans le Future Shop du centre-ville, le seul endroit où nous étions sûr que nous pouvions trouver des cartouches et n'était pas devenu un centre de massage entretemps. Le détour est un peu long mais nous permet tout de même de faire la découverte de cette sympathique biographie. Peut-être qu'un de vous se le fera offrir à notre retour donc, à votre place, je ne rirais pas !



Plus tard dans la soirée, nous étions invités à passer prendre l'apéro chez Ombeline et Raul, nos deux sympathiques voisins qui habitent un peu plus bas de notre rue. Au final, on y est resté jusque 22h30 et on y a mangé des pizzas maison, il est donc inutile de préciser qu'on a passé un bon moment ! Merci donc à eux pour l'invitation !

De retour à l'appart, nous décidons de nous lancer dans le visionnage d'un grand classique du documentaire historique : Indiana Jones et la dernière croisade. Comme un idiot, j'ai dit avant de commencer "ouais ouais, j'écrirai l'article d'aujourd'hui après le film". Me voilà donc à terminer cet article alors qu'il est 01h42 à Montréal. Bonne journée à ceux qui partent bosser en Belgique au passage, moi je vais dormir. Ahahah !


jeudi 7 octobre 2010

Une journée quelque peu plus intéressante que les dernières...

7 octobre donc.

Moumou est déjà parti quand nous nous levons et remercions K et Chafouin d'hier pour avoir poussé sur leurs nerfs pour finir la présentation sur la théorie des jeux, plutôt que de nous la laisser sur les bras à nous, K et Chafouin d'aujourdhui. Nous profitons donc calmement de la matinée... J'agrémente ma playlist Youtube quand Rat Musqué se met à danser dessus. Super Chinois propose alors de "faire une vidéo de Rat Musqué en train de danser". C'est Super Chinois, on ne peut rien lui refuser. Vous avez vu le résultat. Toutes nos excuses.

Après avoir mangé devant les va-et-vient des Roger sur notre terrasse, et répété notre présentation, nous nous mettons en route pour aller faire les courses. Nous achetons des chocolats pour Mireille, la gentille secrétaire qui avait eu tant pitié de nous quand nous attendions notre promotteur, 3 paquets de pâtes en promo, un enlève-charpies (mais si, vous savez, ce rouleau collant pour enlever les peluches des vêtements), et quelques autres bazards et trucs.

A peine rentrés (et la moitié du contenu d'une bouteille d'eau gazeuse au citron étendue sur le sol), nous repartons pour le centre. Métro jusqu'à McGill pour rentrer dans le centre Eaton. Christophe s'en va zoner flâner pendant que j'achète son cadeau d'anniversaire.

Nous trouvons que les concepteurs de jeu sont particulièrement brillants.

Quelques boutiques plus tard, nous nous posons au rez-de-chaussée pour déguster un smoothie banane-orange-pomme-fraise. C'est lourd et c'est bon !

Slurp
Après un tel festin, il est déjà l'heure de s'en aller, Christophe vers la maison, moi vers la mise en forme brésilienne. Retour donc au studio danse montréal pour 1h de mouvement. Je prends une carte de 10 scéances pour 85$ (et ils ont les prix TAXES COMPRISES, eux !!!), ce qui revient à économiser 15$ (25$ si on compte la première scéance que j'ai eue gratuite). Le cours se passe bien, je me sens un peu mieux (c'est sans doute dû au plein de vitamines du smoothie) mais ça reste intensif ! Je sors de là rouge comme une tomate.


La charmante prof (remplaçante) de la mise en forme brésilienne

Le petit "salon" pour attendre
Je reprends le métro (d'abord dans le mauvais sens), et retrouve les deux filles dans le salon. 
Moumou a codé aujourd'hui, mais il n'a pas l'air plus convaincu que ça... Courage Moumou

Nous avons le plaisir de revoir notre amie Amy Farrah Fowler (Hey ! It's Shamy !), ce qui n'a pas l'air d'être le cas de nos deux gays favoris. C'est pas faute de les avoir prévenus.

Pour terminer la journée, Moumou a la chance d'entendre notre présentation pendant que de délicieux petits pilons de poulet épicés cuisent dans la poêle. Et je réalise un nouvel exploit : faire manger de la SALADE à Christophe... Une demi feuille, ok, mais c'est déjà ça.

Voilà, je suis en pyjama, et on va sans doute pas la jouer longue ce soir... Bonne journée à tous ceux qui se lèveront en Belgique d'ici  2 ou 3 heures. On pense à vous, et on vous fait plein de poutoux poutoux !


lundi 4 octobre 2010

Comment transformer une journée non trépidante en une journée trépidante

Alimenter un blog quotidiennement, ce n'est pas facile. Heureusement, on s'y est mis à trois. Alimenter un blog quotidiennement quand il ne se passe rien de passionnant, c'est encore pire. Pas de bol, aujourd'hui, on s'est tous contenté de sagement bosser et donc, pour le côté trépidant, on repassera !

La journée a ainsi commencé tranquillement, comme d'habitude un peu plus tôt pour Antoine, tandis qu'un Roger se délectait d'un bout de pain. Notre piège à Roger fonctionne toujours parfaitement et c'est donc accompagnés de la vermine locale que nous prenons notre déjeuner.

Nous avons ensuite passé notre matinée à poursuivre la lecture de notre livre tout pourri. Comme j'avais continué à le lire vendredi pendant que K allait remuer son popotin, j'avais un chapitre d'avance sur elle. J'en étais donc au point où les chapitres à lire ne font plus partie de la présentation que nous aurons à faire vendredi. Ma grande conscience professionnelle m'a tout de même amené à les lire avec autant d'assiduité que les précédents. Enfin 'les', je n'en ai lu qu'un en fait... Et en passant toutes les illustrations... Et les exemples... Et les trucs que j'ai pas compris aussi... Autant d'assiduité donc.

Je vous dirais bien de quoi il s'agit mais vu que je ne l'ai pas lu... 


L'après-midi, en revanche, saoulés par la lecture, nous décidons de coder un peu. Pas sûr que ce que avons réalisé sera très utile mais au moins, ça change !

Miam, du code écrit par deux bourrins !

La journée touche déjà à sa fin. Le souper préparé par K se révèle très bon. Même si le plat de purée était très chaud au sortir du four et que mettre son doigt dessus n'était probablement pas l'idée le plus géniale du monde.

Nous avons ensuite réussi à percer le mystère qui a tenu en haleine pendant toute cette journée : retrouver mon jeans disparu et les feuilles de couleur. Ceux-ci gisaient respectivement négligemment sur la chaise d'une chambre et en plein milieu de la table du salon. Le taupomètre continue de grimper.

Une journée passionnante comme je vous le disais...

C'est vieux et ça n'a rien à voir mais comme c'est marrant, on le met quand même !




mercredi 22 septembre 2010

De la composition des papiers scientifiques

Etant depuis le début de notre stage dans une phase d'intense lecture de papiers scientifiques sur les Web Services, la réputation, les algorithmes de confiance etc, nous avons pu percevoir une certaine redondance dans la structure de la plupart de ceux-ci.
Bon, on vous passe l'introduction et les références hein... Mais en gros, c'est ça. Les gars ont une idée, ils en parlent, ils la développent, ils expliquent comment, avec des lettres bizarres et des calculs étranges, ils arrivent à un résultat théorique.
Ensuite, ils testent.
Étonnamment, ça marche toujours.
Donc leur conclusion se résume souvent à "On avait raison. Na !".

Bon, on dit "étonnamment", mais bon... Après réflexion, on s'est quand même dit que, au fond, ça servait pas à grand chose, en fait, d'écrire un papier qui ressemblerait à ça :

Mais ça nous ferait bien rire :]

lundi 20 septembre 2010

Perdus de vue

Voici la liste des gens que nous soupçonnons d'être morts :


  • notre promoteur --> n'est pas mort, nous l'avons eu au téléphone. Nous sommes très contents.
  • Nascimo Coremans  --> n'est pas mort, mais n'est pas en Allemagne. Nous sommes très décus.
  • Calypso Coremans
  • Roger l'enragé
  • Jean-Baptiste Hainaut --> n'est pas mort, contrairement à son iPhone. Nous sommes très contents aussi.

En attendant les faire-part de décès, nous lisons ceci :


mardi 14 septembre 2010

A tous les gens qui pensent qu'on glande...

Ceci est le fruit de notre dur labeur du jour :

Community : Web services with similar functionalities
-> a means to gather similar Web services regardless of who developped them, where they are located, and how they function (common functionality, distinct non-functional properties)
Similar functionalities -> Reputation acts as a factor of differentiation
What makes users return and bind to almost the same Web sites -> Reputation

Reputation : 2 perspectives :
-       Provider : in which community put his WS
Goal : signing up in reputable communities
-       User : which community to choose to identify the WS to invoke later, help him select communities that can offer to him WS that meet his quality expectations
Goal : be served by CWS with high and reliable quality of service

Reputation : opinion of the public toward a person, a group of people or an organization
Based on user ratings à subjective, easily manipulable

Community : master & slaves
Roles of master : leads the community
-       Attracting new WS using rewards
-       Convincing WS to stay
-       Nominating WS to participate in composition scenarios

Functions of  a community : 3 categories
-       Management (monitor all events happening in the community)
-       WS attraction & detention
-       Nomination & selection functions for composition

 Reputation based on several metrics
-       From the user’s perspective
o   Responsiveness : how fast a community master is at nominating a WS slave from his community that can handle the user’s request
o   InDemand : how much users are interested in a specific community more than in any other one
o   Satisfaction : subjective opinion of clients

Responsiveness and satisfaction : direct evaluation of interactions between users et CWS
InDemand : assessment of a community in relation to other communities

-       From the provider’s perspective
o   Selectivity : maximum likelihood of beign selected for fulfilling user’s request compared to all others communities
o   Market Share : ratio of the WS subscribed to a community to the total number of WS subscribed to all communities
o   Fairness : giving each provider almost the same opportunity of participation like its peer members in the community

Reputation-based architecture
-       Extended UDDI
Registry containing entries that describes individual WS
-       User Agent
Proxy between the user and other parties
-       Provider Agent
Proxy between the provider and other parties
-       Reputation System
Core component : 2 functions :
o   Maintaning a repository of runtime operational data needed to compute the performance metrics of a community
o   Ranking communities by their reputation using a ranking algorithm
Important that user and provider agents are independant parties in order to intercept trusted runtime data about each WS interaction

Reputation based on evaluation based on credibility

CWS may be encouraged to improve their reputation or damage other’s reputation by providing fake evaluation à need to find a architecture model with an incentive based reputation adjustment so that even if a community is capableof misleading the logging system in support of itself it will not take the risk to do that given the fact that they are aware of possible consequent penalty that would decrease the current reputation level

2 types of fake ratings :
-       Fake positive (to improve one’s reputation)
-       Fake negative (to degrade other’s reputation)

To counter this, 2 steps needed :
-       Recognition
-       Adjustment

Also needed : accurate logging file, responsability of controller agent (highly secured agent, and if compromised recognized by communities)
Controller Agent takes feedback files under surveillance, can fail to recognize fake feedback -> malicious WS consider this failure chance in their decision of cheating

Fake positive correction :
-       recognition : based on recent observable changes in the reputation of a community -> abnormal improvement of reputation, with regard of a predefined threshold
-       adjustment :  observation of the upcoming behaviour and
o   if faking confirmed -> reputation decreased by some applied penalties
o   if not à improvement of reputation taken as normal

Fake negative correction :
-       recognition : as fake positive
-       adjustement : observation of the upcoming behaviour and
o   if faking confirmed -> negatives are discarded and reward is assigned
o   if not and the community was complaining -> penalty applied

After having faked, detection probabilty by the controller agent is really high and faking again would be crazy because it would be detected and the penalty of 2 faking is too high to ever retaliate and improve again. So, it is an incentive not to fake.

WS alone can easily be overloaded and hence having a poor responsiveness

Solution : group different WS in a community -> improve performance and/or availability but more complex, need a proper management and master responsible for accepting and excluding WS

Good reputation = double sword : bring plenty of user’s requests -> overloading
Challenge : tradeoff between one’s capacity and market share -> WS not overloaded but not idle
Find such a tradeoff = stable reputation and market share level

Why a WS is encouraged to join a community that would possibly degrade its reputation ? Answer : survival is more critical than carrying on the current reputation level

WS able to handle requests unless overloaded (too big InDemand) -> poor QoS for some users that exceeds community capacity à drop in the user satisfaction -> drop in the reputation
Old communities more familiar with the network -> chaotic situation would less affect them (drop factor µ)

A community would be encouraged to join an other community even tough its reputation is decreased, the join is beneficial as long as the total performance is higher.
Reputation parameters :
-       Quality
Capacity of handling user’s requests in a timely fashion
-       Market Share
Extent to which the WS is active in the providers’ network

Seize malicious acts à maintain a sound reputation system
Failing to detect malicious acts -> false alarm :
-       Penalizing a good WS
-       Ignoring malicious WS

Need to find optimum penalty value which minimize malicious acts and maximize self-performance level

One-shot game :
Cg\community i
Fair
Malicious
Ignore
Penalize
Unique Nash Equilibrium

Repeated game :
Cg\community i
Fair
Malicious
-> all the time = dominant strategy
Ignore
Pareto optimal  (if not aware of Cg accuracy level)
Penalize
(All the time) Unique Nash Equilibrium
(if community not aware of Controller Agent previous chosen strategies)

By finding the right penalty, acting normal and being ignored is both nash and pareto optimal -> incentive to act normal

mardi 7 septembre 2010

Un peu de sérieux (ou presque)

Hey !

Après notre long périple d'hier, nous avons décidé de poursuivre sur notre lancée en restant à l'appart. En théorie, l'idée de base était de lire la documentation qu'on nous avait filé sur nos sujets de mémoire afin de ne pas débarquer comme des ploucs devant nos maîtres de stage demain.

En pratique, on a surtout passé la matinée à causer sur Skype, regarder l'US Open et faire de la mousse au chocolat. En l'absence de batteur électrique, la préparation de cette dernière, et plus particulièrement la phase de montée des oeufs en neige, ne fut pas des plus simples et il aura fallu que notre trio de mous du bras se relaie toutes les deux minutes pour l'achever. Au final, le résultat était très bon et a fait office de délicieux dessert.





Tant qu'on parle de repas, on a mangé des pâtes ce midi. Oui, je sais, tout le monde s'en fout.

En début d'après-midi, le sportif Antoine a décidé d'aller faire un petit jogging du côté de sa fac malgré le ciel menaçant. Heureusement, il est revenu tout sec. Enfin non, il avait un peu mouillé, mais c'était plus dû à l'effort qu'à la pluie.

Après cet interlude sportif, nous nous sommes enfin mis au travail. Enfin presque, c'est dur de résister à une si belle affiche tennistique :P






K : "Moi, je les trouve moches"

En début de soirée, nous sommes enfin partis rendre visite à Ben et Lorent et ainsi découvrir les charmes de leur habitation assez cool. Mais bon, vu que vous suivez sans doute le blog de B3nz3n, vous le savez déjà !

Je n'en parle pas ici parce qu'il est tard et que j'ai envie de dormir, mais un événement tragique et traumatisant est arrivé à notre pauvre Antoine. Stay tuned pour plus d'informations ! Ouuuuuh, quel suspense palpitant...