samedi 9 octobre 2010

Le Chili arrache, la Boréale soigne

Je n'étais pas le seul à être matinal ce vendredi, comprenez par "matinal" un réveil délicat vers 8h suivi d'un départ précipité pour le DIRO une heure après. Plaignez-moi.

K et Chris devaient en effet rencontrer leur promoteur fantôme à 10h30 à l'Unif Concordia. J'ai ouï dire que ce dernier les avait finalement reçu entre deux réunions, avant un face-à-face dans l'escalator et après le cadeau pour Josette Mireille. Toujours selon les rumeurs, la présentation était de qualité (comme prévu), Fantomas persiste à se faire passer pour une taupe (comme prévu) et les accès aux labos ne sont toujours pas réglés (quelle surprise).


Pour ma part, je tentais vaille que vaille d'intégrer différents algorithmes de calcul d'importance relative dans mon projet afin d'affiner l'analyse de la navigabilité des sites web. Je ne suis pas encore au bout de mes peines mais ça progresse. Et puis, comme disait Virgile, souvenons-nous que le travail acharné et l'extrême indigence triomphent de tout.


Le chili con carne a failli m'être fatal lors du souper mais je résiste aux épices mexicaines en m'abreuvant jusqu'à plus soif. Je dois dire que ça piquait un peu, que je transpirais un peu mais je me suis tout de même resservi. C'était risqué mais pas mauvais ;) 


Nous retournons dans la soirée jusqu'à notre nouveau bar fétiche de la Rue Sainte Élisabeth. 


Une ruelle de violeurs. On ne vous avait pas menti.


La cour extérieure est aujourd'hui fermée, nous prenons donc place à l'intérieur. Le bar est moins bondé que lors de notre premier passage mais c'est néanmoins quasiment rempli. La Boréale dorée ne vaut toujours pas notre bonne bière belge bien goûtue mais se laisse boire. K déguste un Baden Baden avant de tenter la Rousse, mais reste blonde rassurez-vous. 
Notre tentative de changer de place à la vue des confortables banquettes matelassées est bien vaine. La serveuse nous expliquant qu'il fallait au moins s'y tenir à une demi-douzaine... Salope! Revenus à notre table initiale, nous remarquons que trois gonzesses sont maintenant installées à l'endroit ciblé. Salopes! La soirée se passe tout de même très bien, sans abus. Le petit goût des épices est définitivement passé.
Nous rentrons vers minuit chez nous.


Tchaw tchaw.



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