mercredi 10 novembre 2010

Ne manquaient que les moustaches de Lech Walesa

De retour en ville après la belle découverte des Laurentides dimanche, je reprenais ce lundi le chemin du DIRO, laissant mes chers parents s'aventurer sous le vent du côté de Québec.
Petite pression en ce début de semaine avec le lancement officiel de la première phase de mon expérimentation, mais le démarrage semble plutôt encourageant. Soit, passons les détails du boulot pour nous retrouver mardi soir dans le métro, direction le Vieux-Port et la station Place d'Armes.

Après avoir retrouvé deux passants insouciants, nous nous attablons dans la foulée au Stash Café, qui n'a en fait de 'café' que le nom puisqu'il s'agit très précisément d'un restaurant polonais. Les craintes de Christophe-le-difficile-d'après-K deviennent réalité... Heureusement, notre serveur à l'accent bien slave est là pour expliquer ce qui se cache sous les noms barbares composants la carte.

Première étape, toute simple, vodka. Pas d'erreur, nous sommes bien dans un restaurant polonais! La vodka passe franchement bien, même celle coupée à l'urine de bison, dixit K.
Chris et le doc' optent ensuite pour le sanglier, tandis que je commande un menu "débutant" à l'instar des dames. La soupe se révèle étrange, indescriptible dirait Jans, mais plutôt goûtue, tandis que Chafouin ne fera qu'une bouchée de la salade proposée en entrée.
Le plat arrive et nous découvrons alors de bonnes spécialités baltiques dont le nom m'échappe malheureusement ce soir. Mais notre graphiste maison vous explique tout cela ici-bas, une petite illustration valant mieux qu'une longue explication (Rosario n'avait pas son chapeau pour ceux qui suivent).

Ne vous fiez pas aux apparences... c'est extra (Léo Ferré).

Le tout est franchement très bon, le sanglier aussi pour les amateurs. Qui plus est, la pianiste s'améliore au fur et à mesure que la soirée avance et que la vodka descend, l'ambiance n'en est que plus agréable!

La panse pleine  Bien repus, il reste juste une petite place pour la tarte aux pommes (6 morceaux valent mieux que 5 lorsque pêches et pommes se confondent pour notre serveur compatriote de JP2) et le thé... Sans oublier la vodka pour finir, évidement.

Indispensable

L'heure de rentrer sonne déjà et nous reprenons le métro après avoir remercié et salué mes parents. Bon retour à eux, à bientôt vous deux!

PS: Demain, 11 novembre, je dois aller bosser... et galère, oh merde et merde.

3 commentaires:

  1. Cet article frôle la perfection à nouveau ! Du grand art, à mon humble avis.

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  2. Ca va, pas de critiaue envers les polonnais, mes originies auraient été vexées! :)

    T'inauiete Antoine je bosse un 11 novembre aussi, jamais de jours feries ces anglais :( enfin meme si ca ne changerait rien

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  3. Ah je ne suis pas le seul, merci Tux ;) Et on dirait que tu utilises un bon vieux clavier qwerty ?!

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