samedi 4 décembre 2010

Qué bordel !

Pour comprendre le contexte de la soirée d'hier soir, il faut retourner quelques jours en arrière, mercredi pour être plus précis. Tout a donc commencé par une invitation anodine à un événement sur Facebook signé mademoiselle Moingeon :



Trop cool ! Sauf que ça se passe a priori chez nous et que, toujours a priori, nous ne sommes pas au courant. A priori, il y a une couille dans le pâté.

Heureusement, vu qu'on n'avait rien de prévu ce soir-là, on ne s'est évidemment pas opposé à la tenue de cette petite sauterie. Comme d'habitude, nous avons donc reçu au HQ Caribou la crème de la crème montréalaise.

Les premiers arrivés seront Guillaume, Aurore et Jérôme, rapidement suivis par Lorent et Ben puis Fleur. Comme à l'accoutumée, nos plus proches voisins, Raul et Ombeline, malgré le fait qu'ils soient à la base de cette soirée, seront les derniers à se ramener.



Raul a néanmoins apporté de quoi se faire pardonner. Il a en effet emmené avec lui les toutes premières bouteilles de sa nouvelle cuvée de bière personnelle, la Rauletta. Après dégustation, le verdict est sans appel, ce n'est pas mauvais. Avec le recul, nous sommes toujours en vie, les conclusions à chaud valent donc toujours un jour après.



L'heure tournant, il est à présent temps de fêter Guillaume. Les trois gâteaux concoctés par Aurore et Raul sont ornés d'un magnifique "25" en binaire, concept que Lorent s'efforcera d'expliquer avec plaisir par la suite, tandis que Patrick Sébastien résonne dans la maison, contrairement à la dernière fois où le pc de K avait lamentablement planté au moment fatidique (bravo Linux).



Une autre soirée organisée par nos voisins étant en train de se dérouler à l'étage du dessus - on y était d'ailleurs convié mais on n'y est pas allez, désolé :P - nous ne sommes pas étonnés de voir débarquer une chenille dans notre appartement, casual. Un peu ringard quand même la chenille, les gars !



Il est désormais temps pour nos convives de nous quitter mais l'heure du dernier métro étant passée, même pour les gens qui voulaient initialement le prendre (pas de bol Ben et Anabelle), tout le monde doit se tourner un autre moyen de transport. Désormais habitué à ses goûts de luxe, Lorent propose le taxi mais la majorité préfère opter pour le bus. En expert, Raul et Ombeline consultent leur GPS pour planifier les trajets de chacun.


En ce samedi, K a décidé de se lever bien tôt, vers 8h20, pour aller faire du shopping. Antoine et moi la rejoignons vers 13h pour aller manger tous ensemble au centre Eaton. Nous passons ensuite le reste de l'après-midi à glander en ville et acheter des trucs. Antoine acquiert notamment une fringante paire de godasses pour affronter l'hiver et mettre des pieds dans la tronche. Il apparaîtrait en outre que j'aie fait la gueule durant cette petite virée, ce qui n'était absolument pas le cas, je tiens à le préciser. Quoiqu'il en soit, le résultat de nos tribulations est exposé ci-dessous à l'aide des contenants desdits achats.



Nous rentrons ensuite chez nous pour au final nos plus en sortir. On avait prévu au début d'aller voir une patinoire et des feux d'artifice, mais l'auto-proclammée plus sportive du groupe à mal aux jambes. Voilà ce qui arrive quand on frime !

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